Pondéré à souhait, courtois comme pas un, l’actuel Directeur Général des Impôts et Domaines a matinalement cultivé les valeurs cardinales qui sont la marque des grands leaders. Homme du sérail, M. BA a régulièrement donné la preuve de ses compétences dans l’exercice de sa vocation. C’est dire qu’aucune des lourdes responsabilités qu’il a eu à assumer n’a été le fruit d’une courte échelle. C’est pas à pas qu’il a construit sa réputation, exécutant chaque mission avec maestria et un sens très élevé du discernement. Jusqu’à ce que le ressort de la méritocratie le propulse au sommet de la montagne fiscale de notre pays.
Dans le quartier qui l’a vu naître et grandir, la Médina, ce monogame qui tutoie les 50 berges passe pour être l’incarnation achevée de la générosité à l’état pur. En effet, nombre d’individus du patelin ayant bénéficié de ses largesses magnifient la discrétion avec laquelle il met son altruisme au service de ses semblables. L’ampleur phénoménale de ses actes de sollicitude contraste pour ainsi dire au silence épais dont il les entoure. A titre illustratif, nous avons pu glaner de nos investigations qu'il a offert autant de boeufs que de moutons et enveloppes pour les besoins de la Tamxarit aux Médinois parmi d'autres nécessiteux. Et, ce sans tambour ni trompette.
Cheikh BA se distingue aussi par sa piété. Cette disposition enviable s’exprime en interventions régulières au bénéfice des mosquées, mais toujours sous le signe d’un effacement dénué de coquetterie.
Cheikh BA : l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Qui donc cette hypothèse pourrait-elle scandaliser ? Personne sans doute. L’énarque qu’il est observe avec rigueur et scrupule les règles d’éthique et de déontologie, qui sont si fondamentales dans le registre où le destin a bien voulu l’inscrire.
Les Impôts et Domaines restent l’un des compartiments les plus sensibles et les plus complexes de l’Administration générale de notre pays. Le bonhomme en est parfaitement conscient, tant et si bien qu’on pourrait dire qu’une telle lucidité n’est pas étrangère au choix porté sur sa personne pour prendre la direction de ce navire surchargé de trésors mais si difficile à manipuler.
Les Impôts et Domaines constituent une mamelle essentielle dans la vie économique de la République. Et c’est bien heureux que Cheikh BA ne soit pas un berger sans vision, sans imagination. Parce qu’il possède des réflexes de vétérinaire, il connaît mieux que quiconque par là où il faut toucher « la vache en or » pour l’amener à libérer les pépites éclatantes dont regorge sa précieuse anatomie. En termes clairs, Cheikh a toutes les cartes en mains pour ne pas passer à côté de sa mission. Il la place à hauteur d’un sacerdoce citoyen, et ce ne sont pas ses administrés qui diront le contraire, eux qui ont d’emblée apprécié à sa juste valeur la belle politique d’humanisation et de convivialité que l’homme place au centre de son magistère. Dans le service, il a très tôt forcé le respect du groupe placé sous sa tutelle par sa ponctualité légendaire. Contrairement à bien des chefs de sa trempe, qui s’exercent, à longueur d’année, à jouer des tours grossiers à la règle de l’assiduité, Cheikh se fait fort d’être au bureau assez tôt et ne le quitte souvent qu’à des heures très avancées de la soirée. Il examine, épluche, scrute, ne laissant aucune chance au Hasard d’infiltrer la complicité qu’il entretient, de façon très naturelle, avec la rigueur et le don de soi. C’est la même détermination dont il fait preuve dans son combat contre l’exhibitionnisme. Dakarposte, qui a "creusé " pour en savoir davantage sur l'Homme Cheikh Ba, est en mesure de révéler qu'il a, en effet, des rapports conflictuels avec le bruit, qu’il tient bien en respect et pour toujours sans doute. Il déteste envahir les plateaux de télé et les colonnes des journaux pour « réciter » ses prouesses, qui pourtant sont innombrables. Il fait le « job » avec assurance et fermeté et laisse à l’opinion le soin de dresser le jugement qu’il mérite.
Cheikh est réputé proche de son ministre de tutelle, M. Amadou BA. Cela est une bonne chose, certes. Mais l’un comme l’autre sont parfaitement conscient que Cheikh ne méritera le respect et l’estime éternelle d’Amadou qu’autant qu’il mettra l’intérêt supérieur de l’institution qu’il dirige devant la convivialité agissante qui l’unit à son patron.
Bon vent, cher Directeur qu’il faut à la Direction qu’il faut !
Edouard
Dans le quartier qui l’a vu naître et grandir, la Médina, ce monogame qui tutoie les 50 berges passe pour être l’incarnation achevée de la générosité à l’état pur. En effet, nombre d’individus du patelin ayant bénéficié de ses largesses magnifient la discrétion avec laquelle il met son altruisme au service de ses semblables. L’ampleur phénoménale de ses actes de sollicitude contraste pour ainsi dire au silence épais dont il les entoure. A titre illustratif, nous avons pu glaner de nos investigations qu'il a offert autant de boeufs que de moutons et enveloppes pour les besoins de la Tamxarit aux Médinois parmi d'autres nécessiteux. Et, ce sans tambour ni trompette.
Cheikh BA se distingue aussi par sa piété. Cette disposition enviable s’exprime en interventions régulières au bénéfice des mosquées, mais toujours sous le signe d’un effacement dénué de coquetterie.
Cheikh BA : l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Qui donc cette hypothèse pourrait-elle scandaliser ? Personne sans doute. L’énarque qu’il est observe avec rigueur et scrupule les règles d’éthique et de déontologie, qui sont si fondamentales dans le registre où le destin a bien voulu l’inscrire.
Les Impôts et Domaines restent l’un des compartiments les plus sensibles et les plus complexes de l’Administration générale de notre pays. Le bonhomme en est parfaitement conscient, tant et si bien qu’on pourrait dire qu’une telle lucidité n’est pas étrangère au choix porté sur sa personne pour prendre la direction de ce navire surchargé de trésors mais si difficile à manipuler.
Les Impôts et Domaines constituent une mamelle essentielle dans la vie économique de la République. Et c’est bien heureux que Cheikh BA ne soit pas un berger sans vision, sans imagination. Parce qu’il possède des réflexes de vétérinaire, il connaît mieux que quiconque par là où il faut toucher « la vache en or » pour l’amener à libérer les pépites éclatantes dont regorge sa précieuse anatomie. En termes clairs, Cheikh a toutes les cartes en mains pour ne pas passer à côté de sa mission. Il la place à hauteur d’un sacerdoce citoyen, et ce ne sont pas ses administrés qui diront le contraire, eux qui ont d’emblée apprécié à sa juste valeur la belle politique d’humanisation et de convivialité que l’homme place au centre de son magistère. Dans le service, il a très tôt forcé le respect du groupe placé sous sa tutelle par sa ponctualité légendaire. Contrairement à bien des chefs de sa trempe, qui s’exercent, à longueur d’année, à jouer des tours grossiers à la règle de l’assiduité, Cheikh se fait fort d’être au bureau assez tôt et ne le quitte souvent qu’à des heures très avancées de la soirée. Il examine, épluche, scrute, ne laissant aucune chance au Hasard d’infiltrer la complicité qu’il entretient, de façon très naturelle, avec la rigueur et le don de soi. C’est la même détermination dont il fait preuve dans son combat contre l’exhibitionnisme. Dakarposte, qui a "creusé " pour en savoir davantage sur l'Homme Cheikh Ba, est en mesure de révéler qu'il a, en effet, des rapports conflictuels avec le bruit, qu’il tient bien en respect et pour toujours sans doute. Il déteste envahir les plateaux de télé et les colonnes des journaux pour « réciter » ses prouesses, qui pourtant sont innombrables. Il fait le « job » avec assurance et fermeté et laisse à l’opinion le soin de dresser le jugement qu’il mérite.
Cheikh est réputé proche de son ministre de tutelle, M. Amadou BA. Cela est une bonne chose, certes. Mais l’un comme l’autre sont parfaitement conscient que Cheikh ne méritera le respect et l’estime éternelle d’Amadou qu’autant qu’il mettra l’intérêt supérieur de l’institution qu’il dirige devant la convivialité agissante qui l’unit à son patron.
Bon vent, cher Directeur qu’il faut à la Direction qu’il faut !
Edouard